Cette pièce, qui n’est que ce qu’elle est, je la dédie aux « hommes », aux vrais, capables de subir cela pour une idée, pour défendre leur sol, révoltés parfois, qui ont su demeurer des hommes cependant à travers les pires horreurs devant lesquelles ceux qui savent n’ont pas le droit de se taire mais ont au contraire le devoir de parler, de dire la vérité, rendant ainsi hommage à ceux qui n’ont d’autre droit sur les autres que d’avoir un peu plus souffert mais presque toujours avec l’admirable pudeur de ceux qui ont vraiment combattu : sans jamais en parler.
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